Il ne va pas de soi de considérer la vie comme résolument rigolote ou parfaitement triste.
Toutefois, je me crois en droit de faire valoir la possibilité de l’existence de zones grises, à la fois, ni drôles, ni larmoyantes.
Une sorte de limbes où erreraient la majorité des gens ternes qui peuplent les cabinets d’experts.
J’affirme que l’expert, par nature, ne dispose pas des propriétés nécessaires à paraître net.