littérature

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  • Dystopique cahier 1
    Mia a presque 15 ans. Elle estime que le monde tourne à l’envers du bon sens. Son papa est du même avis, mais il ne veut pas faire de vagues. Par contre, sa maman est à fond dans le système qui tient en laisse les citoyens sous prétexte de bien-être. Pour surveiller le peuple, le robot-chien « Thalès, le chien santé-sécurité toujours à tes côtés », qui relègue Big Brother au rang de gadget pour nourrisson. Échapper à Thalès est le but de Mia, de son père et d’un petit voisin qui ne supportent plus cette vie propre, en ordre, sanctionnée et tellement ennuyeuse.
  • Et c’est ainsi que nous vivrons
    Douglas Kennedy fait partie de ces auteurs dont on ne comprend pas le succès international. Il écrit sans le moindre style, multiplie les lieux communs, n’a aucun sens de l’esthétique. Ses récits sont ennuyeux et si lents, qu’une petite belote pourrait prendre place entre deux chapitres. Mais il observe et décrit ses USA natals avec un œil lucide, qui ne manque ni de charme, ni de cruauté.
  • Les Masques éphémères
    Célibataire endurcie, mais « vivant avec le Commissaire Brunetti », son personnage principal, « depuis trente ans », l’Américaine Donna Leon écrit un livre par an, dans lequel son flic préféré résout des affaires criminelles. Comme elle a vécu durant trois décennies à Venise, Brunetti incarne quasiment la Sérénissime en littérature. Il a une femme, issue d’une grande famille bourgeoise, prof de littérature – comme l’a été longtemps l’auteure, en Angleterre, en Iran, en Arabie saoudite, avant d’enseigner près de Venise. Ne supportant plus le tourisme de masse, elle a quitté la ville et s’est installée entre Zurich et les Grisons, elle a même pris la nationalité suisse. Ses romans ont donné lieu à plusieurs films.