Le temps passant, les événements se sont enchaînés, laissant paraître les indices d’une falsification, un piège dont seules la lucidité ou la folie permettent de s’extraire.
Avec Cargo, j’ai décidé de ne pas y participer, prenant soin d’informer les habitués du Cargo avec la diffusion d’un éditorial publié dans la lettre de nouvelle de l’Atelier Grand Cargo (à lire ici).
Ce refus, en me libérant des contraintes de soumission économiques ou de bienséance, devenait la possibilité de garantir une liberté d’expression, de quitter l’habit d’acteur culturel et de me tailler un costume de citoyen, en bref de faire république.
Je danserai claquettes sur le site legrandgazometre.ch avec une suite d’articles figurant sous l’onglet :
les hypothèses
J’interrogerai les événements tels que je pourrai en prendre connaissance, en m’efforçant de les penser autrement que par l’intermédiaire des présupposés touchant à la conservation des croyances, en observant au plus près les actes de la bourgeoisie culturelle dominante qui s’est emparée de ce projet.
Vaste programme direz-vous !
Et pourquoi une danseuse sur un tableau de Degas ?
Une réponse fera l’objet d’un article spécifique à lire prochainement.
en attendant, ceci n’est pas un Degas


