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Tu m’as dit que tu ne te souvenais pas de notre première rencontre…
couverture Dominique Lévy
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Au cœur de ce récit, un lieu : les Abattoirs de La Chaux-de-Fonds, produit d’une idéologie du progrès et processus industriel appliqué au vivant.
couverture de Carole Bellenot et Heidi Arens
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Ce récit est tout entier voué à la recherche de la mémoire collective, sans laquelle il n’est pas de langage.
illustration Roger Favre
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La trajectoire décrite dans ce livre correspond, autant que peut se faire à l’état des lieux qui était visible à Berlin en mai-juin 2003.
couverture de Rolf Blaser
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Le livre qui manquait au Canton de Neuchâtel, essentiel à la connaissance intime du pays, comme de tous les lieux d’origine. Un régal à l’humour subtil et décapant!
encre de Chine d’Anne-Charlotte Sahli
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Cinq nouvelles qui sont autant de parcours d’individus confrontés à une géographie existentielle passablement tourmentée. Le voyage est ici une exploration intime qui ne manque ni de sel ni de piquant.
encre de Chine d’Anne-Charlotte Sahli
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Le roman est une enquête littéraire qui tente de dénouer les raisons et surtout les déraisons de la présence d’une femme allemande à La Chaux-de-Fonds dans la tourmente de la fin de la guerre 39-45. Dans les noeuds complexes et improbables de l’Histoire, l’auteure tisse un chant singulier, une véritable ode dédiée à la passion et à la musique.
graphisme René Lovy
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Cette nuit j’ai fait cuire une tête humaine. Je n’ose plus soulever le couvercle. Je sais que la tête est là, à bouillir, que la viande – puisque c’est de la viande – doit être archicuite mais je ne peux me résoudre à soulever le couvercle. Je tremble. Je me résigne à le faire. Horrible. Empoigner cette casserole, la retirer du feu, en soulever le couvercle. La tête bouillie. Je crois que je vais devenir folle. Je ne sais pas quoi en faire. Je ne vais pas la manger. Il y a des gens dans mon salon. Je dois faire comme si de rien n’était. Je dois m’occuper de cette tête.
mise en page Chatty Ecoffey
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Un jardinier est chargé du quartier des enfants d’un cimetière municipal. Cette situation réveille en lui le souvenir de lointaines tragédies. Avec l’imagination en rempart contre la souffrance, il se réfugie peu à peu dans une vie parallèle où chacun de ses gestes quotidiens a valeur d’œuvre réparatrice. Sans pathos, sans morbidité déplacée, juste pour contrer la maladie de l’oubli, Thomas Sandoz se mesure à l’un des ultimes tabous, celui de la mort des enfants en bas âge. Un récit entre ombres et lumières, retenu et désarmant.
dessin de couverture de Mandril
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